Dans un contexte où la Chine continue à placer tout ses espoirs dans une stratégie "Zéro Covid", Hong-Kong plonge peu à peu dans une crise sanitaire sans précédent. Alors que la ville se démène pour stabiliser sa situation sanitaire. Le "zéro Covid" crée une grave pollution à Hongkong. Selon les écologistes, cette politique a engendré la hausse inquiétante de l’usage du plastique .

La politique de “zéro Covid” appliquée par Pékin comprend : confinement strict, isolation drastique, dépistage massif, traçage des déplacements … Cette absurdité sanitaire n’a pourtant pas empêché la hausse des cas de contamination, mettant les systèmes de santé à rude épreuve. Outre le coût économique, cette politique “zéro Covid” constitue un coût environnemental non négligeable. Elle est à l’origine de la pollution plastique, une des principales menaces environnementales de la planète.
Une politique anti-Covid aux conséquences désastreuses
Selon Reuters, en arrivant à Hong-kong, la première chose qu’on remarque, c’est la présence de plusieurs déchets plastiques dans les hôtels de quarantaine. En effet, en raison de l’application de la politique “zéro Covid”, des mesures sanitaires strictes ont été appliquées dans ces établissements.
Tout d’abord, le personnel doit porter des équipements de protections individuelles (EPI) à usage unique incluant des masques, des gants, des blouses, des chaussons et des chapeaux. Dans les chambres, les télécommandes, les oreillers et les couverts sont emballés dans de la cellophane. Même les repas sont livrés dans des sacs en plastique.
Avec les milliers de personnes en quarantaine, Hong-Kong produit 2.300 tonnes de déchets plastiques au quotidien. Pourtant, le taux de recyclage est de 11% uniquement d’après les chiffres émanant du gouvernement. Le reste des déchets est donc mis en décharge.
Un manque de conscience environnementale
La politique de quarantaine stricte en vigueur à Hong-Kong a déjà provoqué des conséquences désastreuses sur le plan économique. Elle a aussi eu un impact nocif sur la santé mentale des gens. Mais elle nuit également à l’environnement.
Edwin Lau, un membre du groupe environnemental local The Green Earth, a annoncé qu’il s’agit d’un manque de conscience environnementale.
“Les personnes vivant dans les hôtels de quarantaine ne sont pas des cas confirmés”, a déclaré M. Lau. Il exhorte le gouvernement à autoriser le recyclage ou la réutilisation des plastiques provenant de ces établissements de quarantaine.
Selon, une étude menée par une équipe sino-américaine, à cause du Covid, l’Asie est le continent le plus touché par cette pollution plastique, à cause des mauvais circuits de collecte et de tri des déchets.
L’étude a révélé également que ces déchets plastiques déversés dans la nature pourraient à leur tour favoriser d’autres maladies bien plus graves.

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