En 2021 sous l’impulsion du fringant Bill Gates, annonciateur depuis plusieurs années de l’apparition de nouvelles épidémies – mais également investisseur bénéficiaire dans l’industrie du vaccin qu’il présente lui-même comme la solution à ces problèmes – Nuclear Threat Initiative (NTI) a conduit un exercice de simulation d’épidémie de variole du singe. Qu’une pandémie mondiale de variole du singe (ce qui n’est jamais arrivé auparavant) survienne l’année suivante pourrait relever de la coïncidence. En revanche, il y en a beaucoup d’autres qui laissent finalement peu de place à « l’improvisation ». Retour sur l’analyse de deux événements où le hasard n’existe pas.
L’apparition d’une épidémie de variole du singe en mai 2022 a engendré une certaine méfiance auprès de l’opinion publique notamment – mais pas exclusivement – parce que cette maladie, plutôt rare et localisée, a fait l’objet en mars 2021 d’un exercice de simulation sur la base d’un début d’épidémie qui surviendrait à la mi-mai 2022. Coïncidence ?
« Le hasard fait parfois mal les choses » écrit Libération. Le hasard a surtout bon dos.
Une presse aux ordres et sans arguments
En juin 2022, le Monde – comme les autres grand médias subventionnés – s’efforce de discréditer l’association entre l’exercice de simulation de 2021 piloté par NTI, une organisation financée par Gates (comme le Monde d’ailleurs) et la pandémie réelle survenue l’année suivante. En mars 2021, le NTI a organisé, conjointement avec la conférence de Munich sur la sécurité, son quatrième exercice de simulation de pandémie. Et, effectivement, la coïncidence est remarquable, puisque celle-ci porte sur l’émergence d’une épidémie de variole du singe en mai 2022. Aux yeux d’un esprit porté sur les conspirations, il s’agit de la preuve que celle-ci a été orchestrée et planifiée.
La critique commence par discréditer « la connivence » entre les événements en la réduisant à des raccourcis simplistes. Après la case « complotiste », les journalistes suivistes cochent aussi celle de la « bêtise » ou de « l’ignorance » des opposants à la vérité que seuls les gens raisonnables et respectables détiendraient.
Retour sur l’expérience de la simulation
L’exercice de simulation a été organisé par la Nuclear Threat Initiative (NTI), une organisation financée par Bill Gates, grand annonciateur des épidémies à venir et gros investisseur dans l’industrie du vaccin. Quoi qu’en disent les médias qui le soutiennent (et le vénèrent), Bill Gates est impliqué dans tous les maillons de la chaine de cette industrie. L’enquête du journaliste Lionel Astruc démonte la fausse philanthropie du milliardaire qui n’a jamais cessé de faire du business.
NTI a été fondée pour évaluer et réduire les menaces associées à la prolifération des armes nucléaires, mais elle s’est depuis étendue pour inclure les menaces biologiques. Gates a non seulement financé les simulations de pandémie réalisées par NTI, mais lui a également accordé des subventions pour le développement de vaccins en relation avec les menaces biologiques.
Le rapport final de cet événement a été financé par le projet Open Philanthropy, lui-même financé par le cofondateur de Facebook, Dustin Moscowitz. On reste donc entre amis (ou adeptes) dans la sphère du Forum de Davos. La simulation par NTI d’une pandémie mondiale et mortelle impliquait une souche inhabituelle du virus de la variole du singe qui est apparue dans une nation fictive, Brinia, et s’est propagée à l’échelle mondiale pendant 18 mois. Depuis le mois de mai 2022, la fiction est devenue réalité :
- L’épidémie de variole du singe a effectivement débuté en mai 2022 (comme dans la simulation),
- Le virus identifié n’est pas une souche habituelle (comme dans la simulation) contrairement à ce qui a été annoncé et même s’il est proche du clade de l’Afrique de l’Ouest,
- Le virus s’est propagé à l’échelle mondiale (comme dans la simulation) puisqu’il a été identifié dans une centaine de pays début septembre 2022,
- Le nom du pays fictif où démarre l’épidémie, Brinia, ressemble étrangement à Britannica pour la Grande Bretagne,
- Le virus se propage maintenant depuis 4 mois alors que l’OMS a fait des annonces indiquant qu’elle était en mesure de contrôler l’épidémie. C’est évidemment un mensonge, l’OMS et les pays concernés ne maîtrisent rien et ne connaissent pas encore les caractéristiques de ce virus dont on apprendra probablement qu’il a bénéficié de gains de fonction… si l’information scientifique n’est pas censurée par les pairs,
- La simulation de NTI prévoit 3 milliards de personnes contaminées et 270 millions de morts. Au regard de la symétrie de la fiction avec la réalité, on peut légitimement s’inquiéter des évolutions à venir.
Des recommandations au profit de ceux qui les émettent
La manipulation de NTI réside dans ses recommandations qui consistent à avancer que nos dirigeants doivent leur laisser quartier libre pour protéger les populations de ces risques biologiques : Les dirigeants scientifiques et politiques doivent prendre des mesures audacieuses pour protéger l’entreprise mondiale de recherche et de développement en biosciences et en biotechnologie afin de garantir que des accidents catastrophiques ou une mauvaise utilisation délibérée ne conduisent pas à la prochaine pandémie mondiale… Bien sûr, elle n’émet jamais l’hypothèse que c’est précisément cette industrie qui est à l’origine de ces chimères et qui représente une menace pour la population.
Ces gens-là nous font le coup des loups qui sont entrés dans la bergerie déguisés en agneau. « Nous sommes là pour vous aider, laissez-nous faire ! ». Qui sont les sots et les ignorants ?
Le père de Bill Gates était directeur du Planning familial (sur le lien, le renvoi à la vidéo Youtube a été censuré) et surement son travail était-il d’aider les mères et les enfants… Tant qu’il y aura des gens pour le croire, les loups n’ont pas fini de se gaver.
Bill Gates, faux philanthrope mais vrai dégueulasse : des dizaines de voyages en jet chez Epstein.
“La simulation de NTI prévoit 3 milliards de personnes contaminées et 270 millions de morts. Au regard de la symétrie de la fiction avec la réalité, on peut légitimement s’inquiéter des évolutions à venir.”
On comprend mieux pourquoi l’OMS – dont Bill Gates est le premier donateur privé – cherche à tout prix à imposer rapidement son Traité International sur Les Pandémies, qui lui permettra de dicter son protocole à la terre entière de manière encore plus implacable que lors de la PLANdémie de Rhume19 :
https://www.consilium.europa.eu/fr/press/press-releases/2022/03/03/council-gives-green-light-to-start-negotiations-on-international-pandemic-treaty/
Sauf que pour l’instant la réalité ne correspond pas vraiment à la simulation. D’abord cette épidémie ne se propage pas aussi facilement que le Covid, et ensuite nous n’avons pas pour l’instant de mort connu à cause de ce virus. Je pense que ces chiffres sont surtout là pour faire peur.
Et le traité national sur les pandémies de l’OMS, ce n’est pas gagné: les pays d’Afrique rt d’autres s’y opposent, et nombre de sénateurs républicains aux Etats-Unis demandent un vote au Sénat.
Comme pour les sanctions contre la Russie, il y a de l’opposition dans l’air. Tant mieux. Ça change de l’à-plat-ventrisme européen.
Plus j’observe les études indépendantes, plus mon intuition me dit que la 5G/6G doit être l’outil de pilotage souhaité des épidémies. De fait, toutes les grandes épidémies du XXème siècle sont corrélées à une augmentation des champs électromagnétiques (électricité, radio, radar, satellite,…). Les épidémies se déclenchent très souvent simultanément en des points éloignés (grippe espagnole : le transport ne peut pas expliquer la simultanéité).
Wuhan et Milan furent les deux premières villes équipées en 5G au monde (les premiers morts Covid).
L’oxyde de graphène (magnétique, supraconducteur) a été détecté dans beaucoup d’études indépendantes sur le vaccin.
Une étude récente sur les vaccins Pfizer et Moderna montre qu’il n’y a aucun composé biologique mais que des composés morts (de type technologique, pas d’azote, pas de phosphore). Cela remet en cause l’hypothèse ARNm qui est une hypothèse vivante. La température de conservation (-30°C a mis la puce à l’oreille des chercheurs, pour le vivant – 20° suffise) est cohérente avec du matériel mort, de type nanotechnologique.
Une autre étude comparative (vacciné/nonvac) montre que les vaccinés émettent des champs électromagnétiques.
D’autre part, les lots ne sont pas identiques ce qui permet de diviser aussi les chercheurs indépendants puisqu’ils ne disposent pas du même matériel de travail.
Bref, la convergence NBIC de la 4ème révolution industrielle (Nano-Bio- Informatique et Cognitif) me semble être le dessein évident de ces vaccins, peut-être encore dans un état embryonnaire mais qui à terme devrait permettre un pilotage par la 5G/6G. Et dans le spectre de la 5G, certaines fréquences sont déjà naturellement létales pour les espèces vivantes…
Et tout cela dans les mains de sociopathes…
Pour compléter votre commentaire: d’après un rapport de l’Association des officiers de réserve de l’Armée: la «pandémie» du COVID-19 a un agenda caché pour le totalitarisme mondial, la nanotechnologie de tous, l’irradiation 5G et le génocide.
De plus, une directive européenne de 2016 sur les champs électro-magnétiques générés par la 5G reconnaît qu’ils peuvent provoquer de la fatigue, et des symptômes de type grippal. Autrement dit, la perte du goût ou de l’odorat et tous les symptômes que l’on attribue au prétendu covid-19 sont connus pour être ceux des radiations 5G.
Cette information, connue de toutes les autorités en place (médicales comme politiques), a été communiquée par le docteur Urmie Ray dans une interview donnée en novembre 2021.
Toutes ces considérations supposent de sortir du paradigme épidémique pour adopter celui du bioterrorisme, ce qui est difficile pour beaucoup.
La perte de l’odorat causée par les radiations électromagnétiques est connue depuis des dizaines d’années, recherche militaire NAVY, recherches soviétiques, NASA, etc. https://zoryglaser.com/.
Une liste très longues d’affections et de symptômes en plus de cela, allant du saignement de nez aux cancers, et bien entendu la maladie des micro-ondes (qu’on appelle aujourd’hui électrohypersensibilité) qui devient de plus en plus fréquente. Pas étonnant quand on doit vivre dans un tel électrosmog.
Beaucoup de focalisent sur la 5G, ignorant que toutes les fréquences de la téléphonie mobile sont délétères, et aussi les Wi-Fi, Bluetooth, etc, et ces faits étaient aussi connus avant qu’ils ne lancent la 1G. Il y a clairement crime. La fréquence 2.4 GHz du Wi-Fi est une des plus toxiques, et ils le savaient. Très proche de celle du four à micro-ondes, emoins puissante. Mais avec les ondes, la puissance n’est pas tout. Une faible puissance peut être très nocive.
Les techniques de l’industrie de Big Tobacco ont été utilisées pour les radiations électromagnétiques : études bidonnées, mensonges, propagande, dénigrement des chercheurs indépendants, corruption de scientifiques et de médecins, des agences de “santé”, création d’un organisme opaque qui dicte ses directives, l’ICNIRP en Allemagne, infiltration de l’OMS. La téléphonie mobile mondiale, ce sont plusieurs milliers de milliards de chiffre d’affaires annuels. Egalement très utile pour les états pour surveiller et parquer les “troupeaux”. Les QR codes en ont été l’exemple parfait. Surveillance totale, addiction, maladies provoquées par les ondes.
Les ondes électromagnétiques provoquent aussi la formation des globules rouges en rouleaux. Oui, c’est documenté. Eh oui, ça peut faire des caillots…
Je crois qu’on peut ajouter tech à votre bioterrorisme. Biotechnoterrorisme. C’est bien de cela dont il s’agit. Si vous avez un nom qui sonne mieux, je suis preneur.
Bill Gates, le Guderian des pandémies, aussi à l’aise dans le Blitzkrieg des virus que dans les solutions vaccinales blindées de tunes pour les propager massivement. Un véritable génie du mal. Aurait été immédiatement pris comme assistant par le Docteur Mengele où l’on sait. On ne va pas refaire l’explication éternellement : néo-malthusianisme, eugénisme, “Car c’est notre projet !”