À l’approche du sommet annuel des BRICS qui se tiendra en Afrique du Sud cet été, 19 pays ont soumis des demandes d’adhésion, dont 6 de façon formelle. Ce mouvement met en lumière le changement de pouvoir économique à l’échelle mondiale. L’espérance d’expansion économique est au cœur de ces démarches, la puissance de la Chine jouant sans conteste un rôle d’attractivité. Les pays actuels des BRICS ont déjà dépassé les nations du G7 en termes de PIB (en Parité Pouvoir d’Achat), déplaçant davantage l’équilibre mondial des pouvoirs. L’ajout de plusieurs pays arabes renforcerait ce mouvement.
Cet article publié en russe par le site ia-centr.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Dans le contexte des changements de l’ordre mondial et du rôle croissant des pays de la « majorité mondiale », les organisations internationales non occidentales deviennent de plus en plus attrayantes pour une variété de pays, y compris le Moyen-Orient. Les plus importants d’entre eux sont le OCS (Organisation de coopération de Shanghai) et les BRICS. Par exemple, l’Iran a récemment rejoint l’OCS et l’Arabie saoudite est devenue un « partenaire de dialogue » au sein de l’organisation.
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