Les États-Unis restent pour le moment une puissance technologique. C’est indéniable, même si les récents progrès de la Chine montrent que, dans certains domaines, les Chinois creusent l’écart avec les Américains dans la course aux brevets : ainsi, selon l’Office de la propriété intellectuelle, avec 70.000 demandes de brevets internationaux en 2020, la Chine devançait les États-Unis (près de 60.000). Dans le domaine des semi-conducteurs, pas moins de 37,865 brevets ont été déposés en 2022 par des entreprises chinoises, un chiffre bien au-dessus des sociétés américaines. Une étude réalisée par le cabinet d’avocats Mathys & Squire a montré à quel point cette technologie revêt désormais une importance capitale pour les grandes puissances. Quant à l’intelligence artificielle, la Chine entend devenir le leader mondial du secteur d’ici moins de 10 ans. Et ce malgré les freins imposés par les États-Unis. Nous publions ici le point de vue chinois très volontariste sur la question.

Cet article publié par le site globaltimes.cn n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Les États-Unis sont engagés dans un bras de fer avec la Chine pour limiter l’avancée technologique de ce « rival » de plus en plus encombrant et éviter ainsi un rattrapage trop rapide qui risquerait de lui donner l’avantage dans des secteurs clés comme les télécommunications et l’intelligence artificielle.
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Pour des pays, comme la Chine et la Russie, les sanctions sont un booster. Il s’autonomisent.