Contredisant les propos à relents trumpistes de sa propre ministre de l’Intérieur (la politicienne conservatrice – pigmentée comme lui – Suella Braverman), Rishi Sunak affirme que la société multiculturelle est un grand succès.
Sunak, bien sûr, jouait sur du velours, comme n’importe quel marcheur macronien répondant à n’importe lequel des pseudo-nationalistes, dûment dédiabolisés, du Reniement National (®Bonnal). Comme eux, Braverman – qui, dans cette scénette, donne la réplique à Sunak – parle « d’immigration incontrôlée » : un schibboleth infaillible, qui permet de repérer à plusieurs kilomètres de distance les gens (qu’ils s’appellent Meloni ou Darmanin) qui ne s’opposeront jamais vraiment à l’immigration de masse.
Face à ce discours creux du mondialisme de droite (Trump, Poutine, Le Pen…), que les gens soupçonnent à juste titre de n’être porteur d’aucune alternative réaliste, Sunak a beau jeu de défendre son bilan, celui de la Grande-Bretagne mondialisée à même le jus du Brexit, et celui du multiculturalisme.
Il faut dire que pour Sunak – comme pour tous les représentants de ce que j’appelle l’Occident pigmenté – ledit multiculturalisme, ça a plutôt bien marché. Car il a permis de mettre fin au racisme.
Mais qu’entend-on, dans un tel contexte, par « racisme » ? Les théories fumeuses du « racisme scientifique » du Gauleiter Rosenberg ? Pas du tout.
Effectivement, le multiculturalisme fonctionne très bien pour Sunak
Dans la perspective de l’essor de l’Occident pigmenté, le « racisme », c’est ce réflexe atavique (parfois aussi nommé « nationalisme ») qui, à l’époque du mondialisme centré sur l’Occident historique (l’époque coloniale) obligeait l’oligarchie blanche à un minimum de solidarité avec les sans-dents blancs qui, après tout, avaient arrosé de leur sang le socle de son pouvoir (en fournissant la troupe de ses guerres coloniales, le prolétariat de son industrie lourde, etc.).
Heureusement, ces heures si sombres ont maintenant fondu à la lumière – portée par Davos – du multilatéralisme kissingérien. Si bien que le binôme écossais (europhile) de Sunak, Humza Yousaf (d’origine pakistanaise) peut aujourd’hui déclarer qu’il y a trop de blancs dans la classe politique écossaise – sans que personne n’ait même l’idée d’oser lui demander combien la classe politique pakistanaise compte d’écossais blancs.
Sunak a donc parfaitement raison : de Davos à Valdaï, sous étiquette G7 ou BRICS (c’est-à-dire, encore et toujours : ONU), le multiculturalisme fonctionne vraiment très bien pour tous les milliardaires du monde. Et même pour certains gueux – sauf, naturellement, les blancs.
Il y a probablement plusieurs catégories de racisme, mais de toute ma vie j’ai peu rencontré de racisme envers les indiens et les chinois, est-ce leurs grandes civilisations qui nous en imposent ( personnellement oui) aujourd’hui indiens et chinois fournissent les contingents des ingénieurs qui bâtissent le monde de demain. A l’opposé j’observe toujours un a priori vis à vis des africains hormis dans le domaine sportif où ils sont sur performants.
Mais qui fait cet a priori, selon vous ?
Cet « a priori » doit provenir de la mauvaise intégration socio-professionelle objective d’un trop grand nombre d’africains sans généraliser et en évitant d’essentielliser = qui est le mécanisme du racisme. Mon hypothèse est que les africains sont découragés et dévalorisés par le discours de victimisation de la gauche française : « Vous ne pouvez qu’échouer et les méchants colonisateurs sont les responsables » ?? Il faut constater que le soit disant remède de la discrimination positive a aggravé le mal.
C’est bien ce qu’il me semblait :
Vous avez PEUR d’essentialiser, car vous avez PEUR d’être considéré comme raciste.
Essentialiser c’est reconnaître des différences naturelles. Ce n’est pas hiérarchiser ces différences.
Vous vous faites avoir.
Refusez d’essentialiser et vous ne pouvez plus qu’appeler de vos vœux la plus grande fluidité de genre possible.
Allez au bout de votre raisonnement !
En l’espèce, les populations africaines font moins d’ingénieurs que les asiatiques du nord car le QI moyen des premiers est inférieur de 30 points en moyenne à celui des seconds, et qu’un faible QI limite la capacité d’abstraction nécessaire dans les disciplines scientifiques.
Corollaire : les seconds font aussi de très bons matérialistes pas gênés de transformer l’humanité en chaîne de production en usine (crédit social etc), car s’ils ont l’intelligence intellectuelle, ils ont très peu d’intuition.
Vous voyez, tout n’est pas tout noir ou tout jaune, si j’ose dire…
Alors arrêtez avec vos a priori.
Seule la Nature a des a priori.
Cordialement.
Eh bien vous vous trompez, et vous le savez très bien, car vous admettez avoir peur d’être traité de raciste.
Je peux vous guérir de votre erreur en deux phrases, seulement le modérateur du CDS a encore plus peur que vous puisqu’il censure (allô, Éric, si tu me lis !) mon explication toute simple.