Beaucoup d’hommes politiques nous mettent en garde de quitter l’euro en raison d’une dette abyssale de 3000 milliards que nous ne pourrions rembourser et que, par conséquent, cette servitude de la dette nous enchaîne à la servitude de l’euro (et accessoirement de l’UE)
Ce n’est pas l’avis de tout le monde et il convient de produire une lettre datée de 1943 écrite par Norman A Thomson et adressée au Délégué Apostolique en Grande Bretagne ainsi qu’un certain nombre d’autres dignitaires ecclésiastiques. Elle est publiée dans un essai écrit par le RP Denis Fahey intitulé « Manipulations monétaires et ordre social » (éditions Saint Rémy)
Le contenu de cette lettre figure dans les 3 pages suivantes (5, 6 et 7) de l’ouvrage ci-contre.
Concernant la dette ainsi créée, l’important est là :
Tout est résumé dans ce paragraphe.
Vous remarquerez que personne n’en parle, ce qui donne raison à Nathan Rothschild cité par Stephen Midford Goodson dans son livre « Histoire des banques centrales » (eds Omnia Veritas) :
« Donnez-moi le contrôle de la monnaie et je me moque de qui fait les lois.La minorité qui comprend le système sera soit si intéressée par ses profits ou si dépendante de ses faveurs , qu’il n’y aura jamais d’opposition de la part des membres de cette classe sociale »
Concluez par vous-même…
Détruire les lignes de crédit à leur entière discrétion…
Combien le furent et combien ne le furent pas ?
Vous pouvez le savoir très rapidement simplement en estimant la quantité de monnaie émise. Une fois toutes les dettes payées, il ne doit plus y avoir un seul billet, ni une seule oièce ni une seule ligne de crédit (monnaie scripturale)
Les photos de l’ouvrage ne sont pas vraiment lisibles c’est dommage. Si l’on se rappelle que le vrai libéralisme décrit par John Locke est : 1/ la liberté de parole, d’opinion, de croyance, de religion 2/ le droit de propriété 3/ les représentants du peuple votent l’impôt pour limiter les dépenses de l’Etat. Mais le Léviathan conseillé par les banquiers, a inventé la dette publique qui est un impôt différé sur les générations futures qui n’auront pas acquiescé l’impôt . Ils seront en droit de ne pas rembourser car je rappelle que l’esclavage a été aboli. Un président américain du XIX e siècle disait « il y a 2 manières de rendre un peuple esclave, l’épée ou la dette » La dette publique devrait être ANTICONSTITUTIONNELLE.
Je fais remarque que la dette publique est très régulièrement votée par les représentants du peuple… La forfaiture est donc totale, sous couvert d’une apparence de légalité…
Si encore cette dette servait à mettre en place des infrastructures exceptionnelles dont bénéficieraient les générations futures cela pourrait se comprendre, mais ce n’est absolument pas le cas. Elle sert aux dépenses courantes. Ce qui est tout à fait immoral.
De temps en temps on entend parler de l’insertion dans la constitution de la “règle d’or” qui serait l’interdiction de voter un budget en déficit. Nicolas Sarkozy avait eu des velléités en ce sens, non suivies d’effet évidemment…
Merci pour ce rappel « la dette publique est votée par les représentants du peuple », faut il revenir à la démocratie directe ? à l’âge numérique cela doit être possible si les médias ne sont pas pervertis.
Dès lors que la dette publique ne génère pas d’intérêts, il n’y a aucun problème. Or, ces fameuses banques “publiques” (Fed, BoE et BCE) sont en réalité la propriété de banques privées qui, elles, perçoivent des intérêts. Ce sont avant tout les intérêts qui incrémentent la dette. Le capital en lui-même, les banquiers s’en fichent complètement cars’il est remboursé, il doit être détruit pour ne pas augmenter la masse monétaire avec une fausse monnaie créée à partir de rien
Merci pour ces précisions essentielles pour comprendre l’escroquerie de la dette publique.
Dans une dette, il y a le principal et les intérêts. Certes, le jeu des intérêts vient renchérir le poids des échéances, mais pour autant, c’est bien le principal, c’est à dire le capital, qui représente la part la plus importante des échéances. La question qui se pose est celle de la détention de la dette publique. En France, pour simplifier, la moitié de la dette est détenue par des créanciers étrangers, le reste par des nationaux , notamment au travers des contrats d’assurance-vie libellés en euros. Imaginons qu’une partie de cette dette ne soit pas remboursée du fait d’un défaut de l’ETAT et que dans le cadre de procédures de remise de dettes ( comme en Grèce par exemple) , il soit décidé que pour alléger le fardeau de l’Etat, on pratique un « haircut » de 30%… Pourra-t-on dire à ceux qui auront perdu ces 30% que le capital est neutre ?
Et pas que les générations futures car nous payons les intérêts mois après mois, année après année et c’est cela qui procure l’enrichissement des banquiers, Cet enrichissement est illégal puisque “sans cause” du fait que la monnaie ainsi prêtée vient de nulle part.
Mais les intérêts, eux, sont payés avec de l’argent réel, fruit du travail des gens.
John Adams avait raison nous sommes devenons les esclaves de la dette publique.
PS ….Ce président américain était John Adams. Nous ne sommes plus en démocratie libérale et nous avançons vers l’État totalitaire étant donné que les LIBERTÉS de parole, d’opinion, de croyance, sont objectivement réprimées. L’Etat Léviathan nous impose des CROYANCES que nous ne partageons pas : 1/ le droit de l’hommisme, un immigré a autant de droit qu’un citoyen français, 2/ l’écologisme et les mensonges du GIEC, 3/ le LGBTisme, avec le délire au sens pathologique des transgenres. 4/ le sionisme, puis que le Talmud interdit le retour des juifs en Terre Sainte avant la venue du Messie, pour de nombreux juifs orthodoxes le sionisme est un blasphème.
N’ayant pas de formation économique, j’ai du mal à comprendre la lettre de Norman Thompson.
Il me semble qu’il ne remet pas en cause le principe du crédit (dont il est admis qu’il a été la condition nécessaire du formidable développement économique des 19° et 20° siècles).
En revanche il accuse les “banquiers”, nationaux et internationaux, de s’enrichir en fournissant le crédit. Cet enrichissement est prélevé sur la richesse de la Communauté sans justification valable. Il ne l’écrit pas, mais la conséquence devrait être que seule une banque publique, à but non lucratif, devrait être autorisée à produire du crédit.
Il souligne aussi le “pouvoir” que ces banquiers détiennent désormais sur le Gouvernement. J’imagine que les banquiers exercent ce pouvoir en décidant unilatéralement quelles dépenses ils accepteront de créditer, mais je n’ai pas souvenir d’avoir connu un refus de crédit des banques envers le Gouvernement… On se souvient cependant encore du refus des banques françaises de financer la campagne du Rassemblement national en 2014, ce qui avait obligé ce parti à emprunter auprès d’une banque russe. En tout cas c’est une deuxième raison de limiter le crédit à des banques publiques.
Il reproche enfin la création d’une “forme de dette monétaire nationale” dont je ne comprends pas bien s’il s’agit de la seule dette publique ou de l’ensemble de la dette publique + privée, qui en tout cas est impossible à rembourser. Peut-être milite-t-il pour la limitation de ce crédit afin qu’il soit remboursable ?
Je pense que c’est même pire que cela. Les banquiers dirigent les gouvernements.
Napoléon disait que: “la main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit”