La crise du COVID-19 a engendré d’importants bouleversements dans la pratique médicale, notamment en favorisant l’essor des téléconsultations. Cette période inédite a non seulement modifié les schémas thérapeutiques, mais elle a également mis en lumière les erreurs courantes des médecins, telles que la surprescription d’antibiotiques. Selon l’OMS, les antibiotiques ne peuvent pas guérir ou prévenir le Covid-19, pourtant leur consommation à travers le monde s’est accrue pendant la pandémie. Dans une nouvelle étude, les chercheurs se sont justement concentrés sur l’impact de la pandémie du Covid-19 sur la prescription de ces médicaments antibactériens, elle a révélé une réduction significative de l’utilisation des antibiotiques en médecine de premier recours..
L’utilisation des antibiotiques pour lutter contre les bactéries et les diverses infections a été introduite au début du 20e siècle. Ces médicaments ont pour fonction de traiter les infections bactériennes et celles qui pourraient survenir lors d’intervention chirurgicale importante. En revanche, ils ne peuvent pas traiter les infections provoquées par des virus, incluant notamment le SRAS-CoV-2. Le recours aux antibiotiques est uniquement nécessaire en cas de co-infection bactérienne dans le Covid-19. La prise d’ antibiotiques de façon inappropriée accroît la menace de résistance aux antimicrobiens, indique une étude. La résistance aux antibiotiques – ou antibiorésistance – est définie par l’inefficacité du traitement antibiotique sur l’infection bactérienne ciblée. . L’objectif de cette nouvelle étude est d’évaluer l’utilisation des antibiotiques en médecine de premier recours et d’analyser l’impact de la pandémie de COVID-19 sur la prescription d’antibiotiques lors des consultations chez les médecins généralistes. Pourtant, aujourd’hui, on sait que dans de nombreux pays ayant traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie était parfaitement contrôlée et même quasiment terminée.
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La surmortalité en 2020 au début de la pandémie a été provoquée par les consignes du ministère de la santé et au premier chef l’interdiction d’un traitement précoce ( antibiotiques , HCQ, invermectine etc) des surinfections bactériennes qui suivent les infections virales. Les intubations ont achevé les patients hospitalisés. La surmortalité en 2021 est en rapport avec l’injection ARNm anticovid , inefficace et dangereuse chez 5% des vaccinés. La justice avance dans certains pays libéraux mais en France la justice est entravée.
En empêchant les malades d’aller chez le médecin, on réduit la consommation de médicaments…
En empêchant les étudiants motivés de faire des études médicales, on réduit le nombre de médecins, et par voie de conséquence,
on réduit ainsi le nombre de prescriptions pour des soins ou des médicaments (qui ne rapportent plus grand chose contrairementaux vaccins…).
C’est le niveau de raisonnement de nos zelites. Les économies (avant toute chose!) par le « management », la « gestion administrée » – par des pointures comme B. Lemaire , X. Bertrand et plus récemment A. Panier- Runnacher, pour ne citer qu’eux. (Soit la pénurie et le rationnement… Comme en URSS. Avec un bon vieux gosplan…)
Ils se moquent pas mal que les surinfections/co-infections soient mortelles pour des patients affaiblis (« vieux ») ou ayant des co- morbidité graves (« cancéreux », etc.) Et on peut même se demander si ce ne sont pas des externalités voulues. Et après on conchie Cuba, tout en acceptant qu’ils nous prêtent des toubibs!
Bienvenue dans l’Eurogoulag, comme dirait l’autre !
La résistance aux antibiotiques est une interprétation de ce qui se passe lorsqu’un traitement antibiotique n’est pas, ou plus efficace. De preuve, il n’y a en pas.
Une autre explication, issue de recherches récentes sur le microbiote intestinal (*), est que les antibiotiques (anti = contre, bio = vie) détruisent des bonnes bactéries dans ce microbiote et ce, parfois de façon définitive, rendant l’organisme incapable de lutter contre des infections futures, même avec l’aide d’antibiotiques.
A ce sujet, il est capital de noter que, depuis que l’ultralevure n’est plus remboursée, les médecins n’en prescrivent plus en même temps que les antibiotiques, alors que c’est un moyen simple de réduire les dégâts des antibiotiques sur la flore intestinale et d’éviter ainsi des problèmes infectieux ultérieurs.
La question vaut d’être posée: quelles motivations ont présidé à ce déremboursement?
(*) recherches peu diffusées tant elles remettent en cause les théories pasteuriennes sur les maladies… Grâce à ces recherches, on a pourtant maintenant des moyens de soigner le « terrain », très efficaces, mais… qui ne font pas le beurre de l’industrie pharma.
Tout à fait d’accord avec vous Dominique
L’OMS répand la peur sur les antibiotiques pour obtenir le consentement pour les futurs traitements qui ne vont pas tarder à être commercialiser. Ils seront bien plus dévastateurs pour le microbiote et pour flinguer définitivement nos défenses immunitaires naturelles.
Il y a belle lurette que les labos ne gagnent plus rien sur les antibios, le changement lucratif sera terrible en propagande. Le moment venu, ne vous précipitez pas, souvenez-vous des produits miracles sans essais sérieux lors du COVID. Ce sera pareil.
La France sera leader car c’est le seul pays d’Europe à manquer d’antibiotiques. Toujours au garde à vous pour favoriser les labos, elle prépare le terrain.
J’ai 55 ans et j’ai passé la moitié de ma vie sous antibios dès l’âge de 6 mois. Si le discours de la résistance était vrai, il y a longtemps que je serais morte !
Pour le côté scientifique, Didier Raoult a debunke le sujet dans son nouveau livre et en vidéo sur sa chaîne YT. Il confirme mon vécu.
Seuls les services de réanimation peuvent être concernés (nids à bactéries) et encore, car dans ce cas, avec des pathologies complexes, on ne sait pas avec certitude de quoi les patients décèdent.
Beaucoup de croyances et d’ideologies commerciales, peu de science de qualité. Sans parler de l’ignorance abyssale des découvertes récentes.
Le premier antibiotique au monde est le glyphosate et presque toutes les volailles sont gravées préventivement d’un antibio spécifique, surtout pour augmenter leur croissance rapidement. Si problème serieux il advient, il viendra de là. Qui en parle ? Presque personne.
Pour l’instant, la gamme large d’antibiotiques est suffisante, même avec les abus en agriculture.