Pour contenir une éventuelle nouvelle vague cet hiver, les autorités sanitaires américaines encouragent la population à réaliser leur vaccin contre la grippe en même temps que leur rappel anti-Covid. Une récente enquête menée par le centre médical Wexner de l’Université d’État de l’Ohio révèle une tendance contrastée parmi les Américains. Alors que la majorité de la population semble prête à se faire vacciner contre la grippe, le taux de vaccination pour le rappel de la COVID-19 reste en deçà des attentes. La réticence vaccinale demeure forte, chaque jour la dangerosité de ces injections expérimentale a été démontrée à de nombreuses reprises.
Pour justifier le déploiement des injections de rappel Covid, les CDC américains arguent que le nombre d’infections et d’hospitalisations dus aux virus respiratoires a augmenté ces dernières semaines. Selon l’enquête du Wexner de l’Université d’État de l’Ohio, la plupart des Américains prévoient de se faire vacciner contre la grippe, mais pas de rappel du COVID. Pour autant les autorités sanitaires US cherchent tous les prétextes pour relancer ses vaccins actualisés.
Scepticisme concernant la sécurité et l’efficacité des injections COVID
D’après l’enquête, environ 56 % des Américains ont déjà reçu ou prévoient de recevoir le vaccin contre la grippe cette année. Toutefois, seulement 43 % d’entre eux disent la même chose pour le rappel COVID-19. Ce contraste s’accentue encore lorsque 37 % des participants ayant déjà été vaccinés contre le COVID par le passé déclarent qu’ils n’ont pas l’intention de renouveler cette démarche en 2024.
Selon l’étude, cette baisse d’adhésion au rappel COVID-19 pourrait être attribuée à divers facteurs, notamment la fatigue vaccinale, une perception de la gravité actuelle du COVID, les diverses informations sur les injections COVID.
La Dre Nora Colburn, directrice médicale de l’épidémiologie clinique à l’hôpital cardiaque Ross de l’Ohio State, met en garde contre cette attitude de relâchement. Elle souligne l’importance des vaccins pour contrer la “triple menace” que représentent la grippe, le COVID-19 et le virus respiratoire syncytial (VRS), particulièrement chez les populations à risque comme les personnes âgées, les personnes souffrant de maladies chroniques et les femmes enceintes.
Vaccination face à la désinformation
Pour la Dre Colburn, la désinformation serait à l’origine du manque de confiance en l’efficacité du vaccin. Elle insiste sur le fait que les vaccins, qu’ils concernent la grippe ou la COVID, sont « sûrs et très efficaces » pour prévenir les formes graves de maladies.
Pour le médecin tout le monde, à l’exception des nourrissons de moins de six mois, devrait se faire vacciner contre la COVID-19. Quant aux enfants âgés de six ans et plus, il est recommandé qu’ils reçoivent également le vaccin contre la grippe chaque année.
En parallèle, les médecins recommandent de suivre des mesures préventives telles que rester chez soi en cas de maladie, éviter les personnes malades et porter un masque en cas de symptômes, afin de limiter la propagation des virus.
Les autorités sanitaires américaines lancent le mythe d’une nouvelle vague de COVID. Jusqu’à présent, rien n’indique que le variant dominant se propage plus rapidement ou provoque des maladies plus graves que les versions précédentes. Les effets secondaires de la technologie à ARNm continuent à être « étouffés » par l’industrie pharmaceutique, les autorités de régulation sanitaire, les médias et certains sondages.
Le Courrier des Stratèges
Pensez par vous-même
La technologie à ARNm serait donc limitée aux injections anti-covid mais pas à celles de la grippe ?
https://x.com/art50mercier/status/1834912599462625512
Epidémie d’infarctus et autres problèmes vasculaires… Un courageux médecin montre les dégâts
https://x.com/Dr_Steph_GAYET/status/1833801086106247577