Dans un avis publié le 02 mai 2022, la Haute autorité de santé (HAS) limite l’utilisation du traitement curatif Xevudy (sotrovimab) en cas d’infection au sous-variant BA.2 d’Omicron.
Si lors de son arrivée en France par accès précoce en janvier 2022, la HAS (Haute Autorité de Santé) avait autorisé le Xevudy (sotrovimab) dans l’indication de “traitement des adultes et des adolescents atteints de la maladie Covid-19 qui ne nécessitent pas de supplémentation en oxygène et qui risquent d’évoluer vers une Covid-19 sévère“. A l’époque, selon la HAS, le sotrovimab était résistant face à Omicron, « qu’il neutralise le virus pour l’empêcher d’infecter de nouvelles cellules et élimine les cellules déjà infectées par celui-ci ». Dans un nouvel avis du 2 mai, la HAS réduit le champ d’utilisation du Xevudy et apporte des précisions concernant son utilisation, vu que son efficacité est en baisse face au sous-lignage BA.2. Une fois de plus, comme dans le passé, l’autorité sanitaire a rendu des avis quelque peu contradictoires et propres à la confusion.
Les détails sur l’utilisation du Xevudy
Le Xevudy est un anticorps monoclonal anti-SARS-CoV-2 utilisé dans le traitement précoce des patients atteints de Covid-19 léger et modéré mais à risque d’évolution vers une forme grave de la maladie.
Ce traitement ayant comme substance active le strovimab, s’administre en perfusion intraveineuse. Il dispose d’une double action. La première consiste à neutraliser le virus afin qu’il ne touche d’autres cellules. La seconde, une action effectrice, le médicament a le pouvoir d’éliminer les cellules déjà infectées.
Malheureusement, l’efficacité de ce traitement curatif proposé par le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) diminue considérablement face au sous-variant BA.2. Pourtant, selon la dernière enquête Flash, ce sous-variant domine actuellement en France, « le sous-lignage BA.2 est majoritaire en France, avec 99% des 2 027 séquences de l’enquête Flash de la semaine 15 ” précise Santé Publique France.
Pour les patients atteints du Covid-19 suite à une infection au sous-lignage BA.2, l’utilisation du Xevudy devrait devenir « très marginale », explique-la HAS. En dépit de la perte d’efficacité du Xevudy face au sous-variant BA.2, son usage est maintenu contre BA.1 et les variants antérieurs du SARS-CoV-2.
Xevudy bientôt abandonné ? Evusheld et Paxlovid toujours en lice
Selon la HAS, le mode d’administration du Xevudy reste aussi inchangé. Il consiste à administrer une dose unique de 500 mg du médicament au patient, par voie intraveineuse. Il faut également rappeler que ce traitement de GSK est uniquement destiné aux personnes âgées de 12 ans et plus et qui pèsent plus de 40 kg.
Enfin, la HAS rappelle que l’Evusheld et Paxlovid, restent les seuls traitements spécifiques du Covid-19. Actif contre BA.2, Evusheld est l’association tixagévimab/cilgavimab. Selon la HAS, c’est anticorps monoclonal « est le seul traitement préventif efficace contre le variant Omicron ». Il est indiqué chez les patients faiblement ou non répondeurs à la vaccination et à risque de forme grave de la maladie.
La HAS préconise également l’antiviral anti-SARS-CoV-2 actif par voie orale, le Paxlovid de Pfizer qui est composé de nirmatrelvir et de ritonavir. Pour rappel, dans un communiqué publié le 25 avril 2022, la HAS s’est prononcée en faveur de l’inscription du Paxlovid au remboursement de droit commun, et a estimé que le service médical rendu (SMR) par le traitement Paxlovid est important pour la santé publique.
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Les symptômes reviennent après l’arrêt du Paxlovid. Ils envisagent de prolonger la durée sauf qu’ils oublient de dire que ce médicament est très toxique (un peu comme le Remdesivir). C’est aussi pour cette raison qu’il est normalement réservé au cas de grande vulnérabilité.
https://nymag.com/intelligencer/2022/04/some-peoples-covid-symptoms-come-back-after-taking-paxlovid.html
Les médecins se sont laissé confisquer leur liberté de prescription sur fond de corruption systémique entre l’industrie pharmaceutique et les agences de santé. Ce qui a commencé aux Etats-Unis il y a au moins (*) un siècle s’est répandu. Il faut rendre hommage à ceux qui se battent contre cette pieuvre.
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/robert-kennedy-jr
(*) voir oar exemple, dans ke livre “meurtre par injection” les fausses épidémies de variole à Kansas City et Pittsburgh dans kes années 1920
Et si on essayait d’autres traitements à base de chloroquine, d’ivermectine ou d’Azythromycine?
Mais il est vrai que cela n’enrichit pas les labos. Au fait, on ne sait pas combien coûte leurs merveilleux médicaments.
La démence continue: Pfizer affirme que sa pilule Paxlovid pour le CoqueVide19 n’a pas réussi à prévenir l’infection symptomatique des membres du foyer
Mon commentaire: Alors que l’OMS recommande le Paxlovid, le traitement de Pfizer, pour les patients à risques – à l’encontre de la pandémie Covidienne inexistante. Alors qu’en France, la Haute Autorité de Santé (on se bouche le nez) soutient le remboursement du Paxlovid… Pfizer affirme que sa pilule Paxlovid, pour le CoqueVide/19, n’a pas réussi à prévenir l’infection symptomatique des membres du foyer.
Pfizer n’a pas précisé si sa pilule Paxlovid est capable de prévenir l’infection non-symptomatique ou de prévenir la non-infection symptomatique – parce que psycho-somatique – des membres du foyer, des membres de la communauté….
http://xochipelli.fr/2022/04/nouvelles-des-brigades-anti-graphene-avril-2022/#013004
C’est ce qu’annonce un article du Epoch Times – en date du 30 avril 2022.
Pfizer a annoncé vendredi qu’un vaste essai de phase tardive a révélé que sa pilule antivirale COVID-19, Paxlovid, n’a pas réussi à prévenir l’infection symptomatique des personnes vivant avec une personne atteinte de la maladie.
L’essai a recruté 2 957 participants âgés de 18 ans et plus qui vivent dans le même foyer qu’une autre personne atteinte du COVID-19 et présentant des symptômes. Ils ont reçu soit Paxlovid soit un placebo deux fois par jour pendant cinq ou dix jours.
Les chercheurs ont indiqué que les personnes qui ont pris du Paxlovid pendant 5 jours avaient 32 % moins de risques d’être infectées que le groupe placebo. Les personnes qui ont pris du Paxlovid pendant 10 jours avaient 37 % moins de risques d’être infectées. Les résultats n’étaient toutefois pas statistiquement significatifs, ce qui signifie qu’ils pourraient être dus au hasard.
« Ces résultats … n’étaient pas statistiquement significatifs et, par conséquent, le critère principal de réduction du risque d’infection confirmée et symptomatique par le COVID-19 chez les adultes qui avaient été exposés au virus par le biais d’un contact domestique n’a pas été atteint », a déclaré la société dans un communiqué.
«Bien que nous soyons déçus par les résultats de cette étude particulière, ces résultats n’ont pas d’impact sur les solides données d’efficacité et de sécurité que nous avons observées dans notre essai précédent pour le traitement des patients COVID-19 à haut risque de développer une maladie grave », a déclaré Albert Bourla, directeur général de Pfizer, dans un communiqué.
Paxlovid est composé de deux médicaments antiviraux différents, le Nirmatrelvir et le Ritonavir. Il est actuellement approuvé ou autorisé pour une utilisation conditionnelle ou d’urgence dans plus de 60 pays pour traiter les patients COVID-19 à haut risque de maladie grave.
C’est sûr, en essayant touts les médocs des panoplies des labos, un jour, lointain, ils vont tomber juste. Tout en continuant d’ignorer ce qui marche. Tous ces gens et leurs agences relais sont complètement tarés.