Après avoir été poursuivis en justice en vertu de la loi sur la liberté d'information (Freedom of Information Act) par l’organisation américaine ICAN (Informed Consent Action Netxwork), au mois d’août dernier, les CDC (Centres de contrôle et de prévention des maladies) américains s’étaient engagés à publier les données « à usage public » d'environ 10 millions d’Américains inscrits au programme V-safe - une application sur smartphone qui envoie périodiquement aux personnes ayant reçu un vaccin Covid, des SMS et des enquêtes en ligne pour surveiller les effets secondaires potentiels du vaccin. Selon le "tableau de bord" de l'ICAN environ 25 % des utilisateurs de V-safe ont déclaré avoir ressenti des effets secondaires.
Pour faire face à une énième vague de Covid, nos gouvernements ont toujours opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager. Dans nos colonnes, nous avons toujours alerté sur les effets indésirables et inquiétants, voire potentiellement mortels de ces vaccins. D’après Reuters, les CDC qui dirigent la pandémie de Covid depuis deux ans aux Etats-Unis, ont finalement décidé de rendre public les données concernant les vaccins. Ces données conservées dans son V-Safe Program, un système de surveillance volontaire par SMS conçu pour recueillir toutes les informations sur les effets secondaires des vaccins Pfizer, Moderna et Johnson&Johnson, ont été transmises à l’organisation américaine ICAN. Elle révèle que ces données sur les vaccins sont « alarmantes ». D’après l’agence de presse Reuters qui cite l’organisation américaine, de nombreuses personnes ont été hospitalisés après une dose de vaccin. Les CDC ont pourtant toujours présenté ces vaccins comme innovants avec des promesses d’efficacité exceptionnelle, sans se poser de questions sur leurs effets secondaires et leur efficacité. Malheureusement, les CDC sont déjà connus pour leurs erreurs dans le cadre de la gestion du Covid: pour rappel ils avaient annoncé le 17 août 2022 qu’ils prévoyaient une refonte complète de sa structure et de ses opérations en raison d’erreurs majeures dans la gestion de la réponse à la pandémie de COVID-19.
Des statistiques alarmantes selon l’ICAN
D’après Reuters, après des mois de querelles juridiques, les CDC ont finalement capitulé devant une ordonnance du tribunal les obligeant à produire ces données.
Depuis le mois d’août, les CDC auraient dû publier sur leur site web les données « à usage public » issues de leur programme « V-safe ». Ces informations proviennent des enquêtes menées dans le but de surveiller les effets secondaires potentiels des vaccins contre le Covid-19 de Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson.
V-safe est un programme des CDC sur smartphone qui permet aux utilisateurs de s’enregistrer après avoir reçu un vaccin Covid-19 et d’effectuer des contrôles de santé.
Mais les CDC n’ont pas respecté ce délai et selon leur porte-parole, ce retard serait lié « aux processus techniques et administratifs longs et complexes » sur leur site web. Toutefois, les autorités sanitaires ont annoncé que les données devraient être disponibles fin novembre ou début décembre.
Pour mémoire, les CDC ont fait l’objet d’une poursuite judiciaire lancée dans le cadre de la loi sur la liberté d’information (Freedom of Information Act) par l’organisation Informed Consent Action Network ou ICAN. Les CDC ont accepté de transmettre à l’ICAN toutes les données conservées dans leur système de surveillance V-safe Program.
D’après l’ICAN, les données sont plutôt « alarmantes ». En exploitant les données, l’ICAN révèle que sur les 10 millions d’Américains vaccinés, 7,7 % ( 782913 personnes) ont eu besoin d’un traitement médical (recours à un médecin ou hospitalisation) en raison d’effets secondaires, après avoir reçu une injection Covid.
Environ 25% des utilisateurs du système ont aussi déclaré avoir manqué l’école ou le travail suite à l’apparition d’effets secondaires, ou des symptômes post-vaccinaux. Certains d’entre eux n’ont pas pu accomplir leurs activités quotidiennes.
D’après Reuters, il est impossible de savoir si les troubles de santé signalés sont réellement liés à la vaccination. Par ailleurs, l’analyse menée par l’ICAN ne permet de savoir à quel moment après l’administration des vaccins les soins ont été prodigués.
Différentes manœuvres pour cacher les faits
Interrogés à propos de ces calculs de l’ICAN, les CDC ont répondu qu’ils ne peuvent pas « commenter des analyses menées en dehors de l’agence ». Selon leur porte-parole, les données de V-safe ont révélé que le taux des soins médicaux après l’administration des vaccins contre le Covid-19 est faible. Il varie de 1 à 3 % seulement au cours de la première semaine qui a suivi l’injection.
Un autre porte-parole de l’agence a aussi indiqué que le personnel des CDC ont suivi de près tous les utilisateurs du programme V-safe qui ont signalé une consultation chez un professionnel de la santé.
Mais pour l’avocat de l’ICAN, Aaron Siri du cabinet Siri & Gmilstad, il ne faut pas limiter les analyses à un délai aussi court vu que certains effets indésirables des vaccins comme la myocardite, le syndrome de Guillain-Barré et l’arthrite chronique n’apparaissent que plusieurs semaines après l’injection.
Selon Siri, les données de V-safe ont révélé que des milliers d’individus ont subi des problèmes de santé plutôt « graves » après l’injection des vaccins et avaient besoin d’un soin médical. Certaines d’entre eux ne sont pas encore rétablies. Or, il y a un manque de transparence dans le traitement des demandes d’indemnisation.
Selon Reuters, toutes les demandes d’indemnisation sont traitées par le Countermeasures Injury Compensation Program (CICP). Les paiements sont limités aux frais médicaux non remboursés et à un maximum de 50 000 dollars par année de perte de salaire.
Au 1er septembre, le CICP aurait reçu 7 084 demandes alléguant des blessures ou des décès dus aux vaccins Covid-19. Seulement trois demandes auraient été jugées admissibles à une indemnisation.
Pour rappel, dans une ordonnance rendue le 2 février, le tribunal fédéral du district nord du Texas a ordonné à la FDA (Food and Drug Administration) de publier les documents concernant l’approbation du vaccin contre le Covid-19 de Pfizer.
En novembre 2021, la FDA a déjà produit un premier lot de documents comportant 500 pages. Ils ont révélé que les vaccins ont causé 1.200 décès. Ces effets secondaires graves survenaient dans les 90 jours qui avaient suivi l’utilisation du vaccin de Pfizer. La FDA a fait valoir qu’il lui fallait jusqu’à 76 ans pour examiner et publier toutes les informations.
On se rappelle les propos du PDG de Pfizer Albert Bourla qui fustigeait ceux qui mettaient en doute l’efficacité de son vaccin, les qualifiant de « criminels ». Il devrait commencer à changer d’éléments de langage assez rapidement.
Gageons que le décès de Jean-Pierre Pernaud fera davantage pour l’information du grand public que les données du VAERS que nous connaissons depuis des mois
Il semble que vous-ayez raison, car beaucoup de gens, surtout ceux d’un certain âge (regardant tf1 en majorité), aient changé d’avis à ce moment, ça s’est d’ailleurs vu très rapidement dans les sondages du 3ème shoot, où le non dépassait pour la première fois les 60%.
Ah, c’est mieux qu’hier. La veuve Pernaut accuse le vaccin :
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/13/greve-generale-en-vue-les-routiers-rejoignent-le-mouvement-jean-pierre-pernaut-est-mort-cest-a-cause-du-vaccin-sa-femme-devenue-veuve-accuse-la-troisieme-dose-le-sondage-de-bfm-etait-truque/
Ces données sont à rapprocher de celles du scandale BKK-Provita en RFA, et de déclarations venant de compagnies d’assurances aux USA
Sans oublier la masse des plaintes des femmes : collectif «Où est mon cycle ?»
Voilà un article intéressant sur le sujet!!! On peut aussi compléter par la base VAERS de pharmacovigilance américaine qui confirme le nombre de cas graves élevé à cause du vaccin.