Dans de nombreux pays, les dirigeants recommandent l’administration de la quatrième dose du vaccin Covid aux personnes âgées de 60 ans et plus. Une étude israélienne a pourtant révélé la baisse rapide de l’efficacité de la quatrième dose.
Fin décembre, Israël est le premier pays à proposer une quatrième dose de vaccin aux individus âgés de plus de 60 ans, les personnes immunodéprimées et le personnel médical. Mais les données des études qui ont été recueillies jusqu’à présent ne permettent pas d’identifier un quelconque bénéfice d’une quatrième dose.
Une baisse rapide de la protection
Israël représente un véritable laboratoire de la vaccination et les autorités ont de plus en plus de mal à y dissimuler l’échec de cette dernière.
Les résultats d’une nouvelle étude israélienne sur la quatrième dose du vaccin contre le Covid ont fait l’objet d’une publication le 05 avril sur le New England Journal of Medicine. Cette étude a été menée auprès de 1,3 million d’individus âgés de plus de 60 ans.
Les auteurs de la recherche ont aussi consulté la base de données du ministère de la Santé. Ils ont examiné les données recueillies entre le 10 janvier et le 2 mars, une période durant laquelle, l’Omicron était le variant dominant en Israël.
Les conclusions de cette étude sont claires : l’efficacité de la seconde dose de rappel diminue rapidement. Cette protection baisse dès la quatrième semaine après l’injection les chercheurs israéliens.
Plus de 6 semaines de protection contre les maladies graves
Les auteurs de cette étude ont aussi vérifié la protection contre la forme grave du Covid-19 après injection de la quatrième dose. Ils ont alors découvert qu’elle peut durer plus de 6 semaines. Cela dit, les chercheurs estiment qu’il faut un suivi plus approfondi pour savoir si la quatrième dose peut offrir une protection sur le long terme.
Une autre étude publiée en mars dernier par une autre équipe de chercheurs israéliens avait établi qu’une quatrième dose de vaccin anti-Covid ne permettait pas de surpasser l’efficacité apportée par la troisième dose, en particulier contre le variant Omicron.
Selon cette étude, moins d’une personne sur 200 de plus de 60 ans ayant contracté le variant Omicron, s’est quand même retrouvée avec une maladie grave après trois doses de vaccin.
L’administration d’une quatrième dose ne susciterait pas un niveau immunitaire plus élevé, les vaccins ARN messager atteignent un plafond en termes de réponse immunitaire avec une 3e dose.
Notons que les résultats de cette étude ont été publiés avant la tenue de la réunion de la Food and Drug Administration sur la nécessité d’une quatrième dose.
Pour rappel, dans un communiqué, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l’’Agence européenne des médicaments (EMA), ont annoncé qu’avec les données disponibles, il est trop tôt pour soumettre la population à une quatrième dose.
En France, Olivier Véran a annoncé le jeudi 7 avril dernier sur RTL l’ouverture de la quatrième dose non obligatoire aux plus de 60 ans dont la dernière injection remonte à six mois.
Par ailleurs en termes d’efficacité, le doute est toujours permis. En partant de la supposition que le vaccin perd de son efficacité avec le temps, il n’y a rien qui puisse réellement prouver que les vaccinés seront indubitablement à l’abri des formes graves.
De plus nous avions évoqué dans nos colonnes la possibilité que les triples vaccinés puissent développer un Sida.
Non seulement pas efficace, mais facteur d’infection. Etait-ce le but (pour entretenir le narratif Covid et ses conséquences) ou seulement un effet involontaire? Quelle est la part d’expérimentation de ces injections expérimentales?
Ce qui semble certain, c’est qu’au contact de triple-dosés, on tombe malade (heureusement, on s’en remet). Je constate de multiples exemples autour de moi.
Il faut ici rappeler un document de Pfizer relatif à “l’exposition environnementale au vaccin”.
http://82.221.129.208/pfizervax.pdf
Si dans ce document, Pfizer demande que des cas de “contagion” entre vaccinés et non vaccinés soient répertoriés, c’est bien parce que le laboratoire a envisagé l’éventualité que son produit se répande autour des individus vaccinés…
Notez également que les études, qui affirmaient une meilleure protection contre les formes graves grâce à la quatrième dose, ne portaient que sur (a) ceux qui avaient eu 3 doses, et pas d’immunité naturelle (donc pas d’infection préalable) et (b) ceux qui avaient eu 4 doses, également sans immunité naturelle. Or, l’intérêt est de comparer la quatrième dose à l’immunité naturelle, très largement présente dans nos populations. Cet angle d’analyse a été sciemment escamoté.
Source le NEJM, et les vidéos du Dr John Campbell
Je ne comprend pas pourquoi on continue à appeler ce machin de vaccin ???
On pourrait peut-être lui trouver un autre non…
Exemple MONSONGE poison inutilité folie attrape nigaux pourri-santé etc etc.