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Covid-19 : faut-il vraiment obéir aux injonctions du gouvernement ?

Éric VerhaegheparÉric Verhaeghe
1 octobre 2020
dans Fil coronavirus
Temps de lecture : 6 minutes
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15
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Il paraît qu’on va reconfiner Paris. Fermeture des bars, des restaurants, des lieux de vie, et tout et tout. Et comme nous sommes des petits enfants pas très malins, Olivier Véran, le ministre de la Santé qui s’est montré incapable d’organiser une campagne de tests digne de ce nom, nous explique que si on fait des efforts, ils finiront bien par payer et par diminuer la circulation de la maladie. Mais les pouvoirs publics savent-ils aujourd’hui vraiment de quoi ils parlent ?

Reconfiner Paris ? Voilà une idée absolument géniale. Alors que le ville s’est vidée de ses masses de touristes qui encombraient ses trottoirs, alors qu’elle s’est vidée de ses banlieusards dont l’odeur de diesel gênaient Anne Hidalgo et ses amis écologistes, il paraît qu’on n’en pas fait assez et qu’il faudrait encore tuer un peu plus les entreprises, les commerces, la vie de quartier, pour diminuer la circulation du virus et éviter un nouvel encombrement des hôpitaux. Mais sommes-nous sûrs d’avoir élu des gens qui savent vraiment de quoi ils parlent ?

Oui, le COVID tue ou a vraiment tué

Je voudrais commencer cet impertinent papier d’impressions en précisant que je n’ai aucun doute sur la dangerosité du coronavirus, contrairement à un certain nombre de Français qui s’interrogent régulièrement sur les intentions ou les vidées véritables des pouvoirs publics. Ces sceptiques remettent parfois en cause la létalité du virus. De mes propres yeux, j’ai vu le nombre de tombes fraîches s’accumuler au printemps dans des cimetières français, et il faut avoir vu ce triste cortège pour comprendre que le virus a fait des ravages là où il est passé. J’ai également entendu les récits poignants d’urgentistes ou de réanimateurs de mon entourage, et je n’ignore pas combien l’épidémie a constitué une épreuve pour les soignants, pour les hôpitaux. On peut en discuter les proportions, mais il est un fait que le virus est une tragédie pour beaucoup, et je ne voudrais pas faire croire que ma circonspection vis-à-vis des instructions officielles tiendrait d’un relativisme vis-à-vis des tragédies qui se sont jouées et qui se joueront dans les semaines à venir.

Qui est responsable de la dégradation de la situation ?

Ce qui me gêne est ailleurs. Comme beaucoup de Français, j’ai constaté l’impéritie, puis l’incompétence du gouvernement face à l’épidémie au printemps. Je ne peux pas oublier la très révélatrice audition du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, devant l’Assemblée Nationale, qui a reconnu dans un même mouvement avoir ordonné la destruction des masques existants, et n’avoir pas ordonné la commande de nouveaux masques pour les remplacer, compte tenu des doutes scientifiques sur leur utilité. Le même directeur général de la Santé a reconnu qu’il appliquait une doctrine de son fait qui n’avait été discutée par personne, sauf peut-être par quelques hauts fonctionnaires du ministère de la Santé qui ne rendent compte devant personne – en tout cas ni devant nous, ni devant l’Assemblée Nationale, ni devant un corps constitué. 

Les mêmes hauts fonctionnaires, visiblement inamovibles, ont organisé durant tout l’été des campagnes incitant à porter le masque partout dans les lieux publics, au nom de la lutte contre la propagation du virus. Les mêmes nous ont annoncé que des centaines de milliers de tests de dépistage seraient réalisés chaque semaine pour notre plus grand bien. 

Résultat de cette esbroufe agitée par des gens qui avaient démontré leur incompétence pendant plusieurs mois : il faut désormais reconfiner, ou fermer les lieux d’échanges sociaux, parce que l’ensemble des mesures prises durant l’été n’a servi à rien. Sitôt les Français revenus de vacances, le virus a retrouvé cette libre circulation dont nous devrions nous priver.

Tout ça, toutes ces vacances avec un masque, toutes ces visites de musées, toutes ces heures passées au bureau, au travail ou ailleurs, pour en revenir à la situation de quand nous n’avions pas de masques ? Euh… c’est une blague ?

“Il ne faut pas vous décourager (...) vos efforts ils doivent payer et vos efforts, ils vont payer.”

Olivier Véran Tweet

Les terribles loupés de la technostructure sanitaire

Entre-temps, Olivier Véran, avec son air plein de certitudes et de « pédagogie » vis-à-vis des abrutis que nous sommes, a quand même réussi quelques exploits qu’il semble bien décidé à passer sous silence, mais sur lesquels nous avons quelques comptes à lui demander. Parlons des tests. Il en a organisé des milliers. Ah! ça fait genre je fais mon boulot. Le problème, c’est évidemment que, lorsqu’une suspicion de COVID apparaît, il faut plusieurs jours pour avoir accès au test, et plusieurs jours pour avoir les résultats. Pendant ce temps, le virus court et fait des dégâts. 

On nous dit, qu’en Allemagne, l’accès au test est immédiat et le résultat tout autant. Pourquoi pas chez nous ? Sommes-nous tiers-mondisés à ce point ?

Accessoirement, de nombreux fabricants de tests plus simples (salivaires ou sanguins) se sont plaints de n’avoir pas accès à l’homologation de leur procédé. Nous avons signalé les retards sur les tests salivaires. Beaucoup ont dénoncé des procédures opaques mises en place par la technostructure sanitaire. Est-ce vrai ? Est-il vrai que ces retards servent des concurrents qui occupent la place ? Cela nous intéresserait que notre pétillant ministre de la Santé fasse le ménage dans ses écuries avant de nous infantiliser. 

Nous sommes prêts à croire que le virus circule par notre faute, notre insouciance, notre manque de respect vis-à-vis des règles, mais nous aimerions être sûr que ce service public (qui nous coûte) si cher à la France ne porte pas lui aussi une part de responsabilité dans le nouveau désastre qui s’annonce.

Arrêtez de nous infantiliser : voilà nos conditions

Pour le reste, nous savons tous aujourd’hui quel bénéfice collectif nous retirerons d’un nouveau confinement : un ralentissement progressif et provisoire de la circulation du virus grâce auquel l’engorgement des hôpitaux sera ralenti. Mais nous savons aussi quel sera le montant de l’ardoise à payer : des fermetures massives d’entreprises, du chômage, des ruines, des ravages économiques, un appauvrissement global qui fait sans doute rêver les amish. 

Personnellement, ce n’est pas trop mon truc. Je ne vois pas pourquoi je lèguerais à ma fille un pays moins prospère, moins heureux, moins facile, moins libre que celui que mes parents m’ont légué. Pour que j’accepte un nouveau confinement, c’est-à-dire pour que j’accepte la ruine définitive de ce pays, je pose donc deux conditions rédhibitoires. 

La première est que, pétri de doutes face à la compétence des gens au pouvoir, je veux pouvoir les traduire en justice et ruiner leur carrière si les méthodes qu’ils proposent ne sont pas les bonnes. Sur ce point, la désignation d’un juge d’instruction chargé de centraliser toutes les mises en cause de l’État dans les accusations portées à l’issue du premier confinement augure d’une volonté d’étouffer toute contestation, et elle est inacceptable. 

La deuxième condition est que ceux qui ont échoué à empêcher cette deuxième vague, ceux qui ont échoué dans la mise en place d’une véritable campagne de tests, ceux qui ont trop peu préparé les hôpitaux à faire face à une nouvelle vague doivent être punis sans mollir et rendre des comptes publics. 

Parce que la ruine des uns ne peut se faire dans l’impunité des autres. 

Sans quoi, reconfinement ou pas, nous savons que le virus continuera à courir, et qu’un nouveau sacrifice du pays ne servira à rien. Au fond, la guerre que nous menons, c’est un nouveau Verdun : les Poilus veulent bien mourir au front, mais les responsables de cette saignée doivent être jugés et sanctionnés. Sans état d’âme. 

Étiquettes : bureaucratie sanitaireconfinementcoronavirusOlivier Véran
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Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Fondateur du Courrier des Stratèges. Ancien élève de l'ENA, ancien administrateur de la sécurité sociale. Entrepreneur.

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Commentaires 15

  1. Franck Boizard says:
    il y a 2 ans

    « Ces sceptiques remettent parfois en cause la létalité du virus. De mes propres yeux, j’ai vu le nombre de tombes fraîches s’accumuler au printemps dans des cimetières français, et il faut avoir vu ce triste cortège pour comprendre que le virus a fait des ravages là où il est passé. »

    Je fais partie de ces sceptiques et j’ai de solides raisons pour cela :

    1) Il y a toujours un pic de mortalité des vieux l’hiver. D’habitude, tout le monde s’en fout. Nous sommes victimes d’un effet de loupe. J’assume mon relativisme.

    2) L’INSEE fait une présentation alambiquée des chiffres de mortalité rendant difficile la comparaison entre années (c’est étudié pour et c’est déjà suspect). Quand on va sur le site Euromomo (pour une fois que « l’Europe » sert à quelque chose), il n’y a aucune ambiguïté : entre le 1er janvier 2020 et le 30 aout 2020, il n’y a aucune surmortalité en France par rapport à la moyenne.

    3) Il n’y a aucune « aggravation de la situation ». IL N’Y A PAS DE DEUXIEME VAGUE. Là encore, c’est l’idée idiote de se focaliser sur « les cas », qui ne mesurent que la bêtise gouvernementale et la mauvaise qualité des tests (vous faites la très grave erreur commune : croire que la circulation du virus est un problème alors que c’est la solution. C’est vraiment une connerie stratégique mortifère. Voir les pays africains, asiatiques ou la Suède). Le nombre de vrais malades et de morts ne change pas significativement. Et quand bien même ? Il faut détecter les malades, les isoler, les soigner et laisser les autres vivre leur vie.

    Mon diagnostic est simple : nous avons été victimes d’une bouffée délirante collective (l’expression est de Raoult et je la trouve très bien) face à une maladie inconnue. Le COVID est une maladie ordinaire, avec une mortalité ordinaire, qu’on sait sait soigner, et qui ne nécessite absolument aucune mesure mesure extraordinaire. Et elle l’a sans doute toujours été, même au printemps où elle était plus meurtrière qu’aujourd’hui.

    Ma politique ? Lever toutes les restrictions et toutes les conneries ridicules (masques, distances physiques, gestes « barrières »). Revenir à une vie normale avec :

    1) Nettoyer les écuries d’Augias de la bureaucratie sanitaire.

    2) Faire attention aux vieux.

    Bref, en finir avec la tyrannie sanitaire, en finir avec la politique de la peur et revenir à une vie normale. La comédie n’a que trop durer et fait trop de dégâts.

    Hélas, vu le nombre hallucinant de crétins bornés, scientistes, bureaucrates, technocrates que cette crise a révélé (je pense que c’est cela, le problème de fond), j’ai peu d’espoir dans ce mouvement d’intelligence que serait un retour à une vie normale.

    Bref, ce n’est pas votre meilleur billet. Vous partagez trop d’hypothèses erronées avec le gouvernement (gravité du COVID, Objectif d’empêcher la circulation du virus).

    Cordialement.

    Répondre
    • Franck Boizard says:
      il y a 2 ans

      * n’a que trop duré Aïe l’orthographe.

      Répondre
    • Chris Boli says:
      il y a 2 ans

      Exactement ce que je pense, cette histoire est suspecte depuis avant le début de la soi-disant pandémie.
      La chloroquine désignée comme substance vénéneuse en début d’année alors que cette substance semble soignée très bien en début de traitement accompagnée d’Azytromicil et de Zinc.

      L’interdiction faite aux médecin de prescrire ce qu’il pense être la meilleure façon de soigner ce virus.
      Le Doliprane comme médicament en cas de fièvre en attendant d’être gravement atteint.
      L’annonce quotidienne des morts du Covid alors que maintenant on nous informe des cas positifs.
      Les tests PCR dont la fiabilité est contesté par plusieurs professeurs de renom.
      L’étrange fermeture des restaurants de Marseille alors que le nombre de morts dans cette ville était faible.
      etc etc etc…
      Beaucoup d’invraisemblance alors que la Suède sans confinée a des résultats meilleurs que nous et une économie qui ne s’est pas arrêté de vivre.

      Répondre
  2. Franck Boizard says:
    il y a 2 ans

    Et puis il y a ça :

    https://twitter.com/quatremer/status/1311813999965728768?s=20

    Répondre
  3. Spirou says:
    il y a 2 ans

    Il faut apprendre à vivre avec le virus. Reconfinons

    Répondre
  4. Imanol 69 says:
    il y a 2 ans

    Bonjour M Verhaeghe
    votre article est plus que surprenant. Etes vous aussi naif qu il le montre? A votre age je ne le crois pas.
    L incompetence est vraiment le pretexte utilise par les politiciens et leurs serviteurs pour faire passer les  » saloperies » que cette techno-structure nous fait subir.
    Manifestement , tout l indique nous subissons un plan ou tout est deja prevu.
    Outre ce qui est tres bien écrit plus haut, la saturation des urgences et réa hospitalieres a bien servie la communication du gouvernement et de Salomon, de meme les transferts de malades reanimes vers Toulouse ou Brest.
    Mais a cote les rea des cliniques n avait absolument rien de saturees.( Je suis medecin specialiste)
    Pourquoi le gouvernement a t il refuse les tests des labo veterinaires?
    Pourquoi 40 CT en France pour les tests et 25 partout ailleurs. N est ce pas pour creer des faux positifs?
    Pourquoi avoir augmente le prix des consultations pour Covid si ce n est pour gonfler les chiffres.
    Pourquoi avoir demande des certificats de deces Covid pour n importe quoi? Et pourquoi cet empressement pour incinerer les morts sinon pour eviter une autopsie.
    Pourquoi annoncer une deuxieme vague des le mois de mai alors que les epidemiologistes comme le Pr Toubiana disent que dans les viremies il n y a jamais de 2eme vague?
    Tous les ans la grippe TUE, plus de 20000 morts en 2017 -2018
    Et maintenant les etudes montrent que les mesures prises par le gouvernement ont plus tue que le virus.
    Alors toujours incompetence?

    s

    Répondre
  5. zelectron says:
    il y a 2 ans

    Les tests àlavacomj’tepouss sans cibles, sont fait auptiboneurlachance , Veran est un grand yaka-irespuka-ifokon

    Répondre
  6. Jean-Jacques LANGLOIS says:
    il y a 2 ans

    Les FRANCAIS doivent rejeter la muselière qui permet à macron et ses sbires de mener le bon peuple soumis, docile et asservit à l’abattoir par une propagande hystérique dans un climat de psychose

    Répondre
  7. CAROLINE BONDOUX says:
    il y a 2 ans

    J’en ai marre que des personnes soi- disant évéillées, comme vous, nous racontent des sornettes en croyant encore que le COvid est une maladie dangereuse et léthale!!! Il faut regarder les chiffres, et voir que ce n’est qu’une grippe ( comme l’avait dit Pr Raoult d’ailleurs).
    D’une part,on sait soigner cette maladie, et, d’autre part, elle a essentiellement tué les personnes âgées avec plusieurs comorbidités qui seraient sans doute décédées dans l’année…
    En revanche, on a tué des milliers de personnes , soit suicidées, déprimées, AVC,crises cardiaques,soit non soignées pour leurs maladies graves, etc…
    Quel bilan!! 72 morts de la grippe….bizarre, on? Sans doute, les morts de la grippe ont été déclarés COVID pour bien faire peur.
    Alors, ne tombez pas dans le panneau!

    Répondre
    • Éric Verhaeghe says:
      il y a 2 ans

      Visitez les cimetières. La mémoire des morts de l’année mérite mieux que les formules à l’emporte-pièce.

      Répondre
      • Franck Boizard says:
        il y a 2 ans

        Cette réponse n’honore pas votre intelligence : à une vue globale, vous répondez par une agression anecdotique. Tous les ans, on peut visiter les cimetières : il y a en gros 600 000 morts par an en France. L’homme était mortel avant le COVID et il le sera après. Je ne manquerai pas de mourir, et mes proches aussi.

        Ne vous en déplaise, la question « Le COVID est-il une maladie à la mortalité exceptionnelle, nécessitant un traitement exceptionnel ? » est pleinement légitime. Et pour autant qu’on sache aujourd’hui, la réponse est négative.

        Sont morts du COVID des gens fragiles (sauf exception) qui seraient morts cette année d’autre chose (d’où le frémissement quasi-imperceptible de l’espérance de vie). De la grippe, par exemple. Le faible nombre de morts de la grippe en 2020 est frappant, il y a eu à l’évidence des vases communicants entre grippe et COVID (administratif : ont été classés morts du COVID des morts de la grippe ; médical : sont morts du COVID des gens qui seraient morts de la grippe).

        Le COVID n’est pas extraordinaire. La panique du COVID l’est.

        Vous songez aux victimes du COVID. Moi, je songe aux victimes de la panique du COVID, souvent beaucoup plus jeunes. En Grande-Bretagne, on parle de 8000 cancers du sein non diagnostiqués (par rapport à la moyenne habituelle). En France, 200 greffes de rein ont été reportées. Et les dépressions ? Et les suicides ? Je songe particulièrement aux jeunes masqués, c’est un crime psychologique et social, et peut-être même biologique (porter le masque toute la journée est malsain).

        Bien sûr, toutes ces victimes de la panique du COVID ne seront pas synthétisées dans un chiffre spectaculaire annoncé tous les soirs par le croque-mort en chef Salomon. Mais Bastiat parlait de ce qu’on voit et de ce qu’on ne voit pas. Pendant que certains se focalisent sur les victimes du COVID qu’on voit, je me soucie des victimes de la panique du COVID qu’on ne voit pas.

        Il n’y a pas que la santé dans la vie. Et, dans la santé, il n’y a pas que le COVID.

        D’ailleurs, la vie, est-ce seulement durer ? La vie de gnou masqué et isolé vaut-elle d’être vécue ?

        Enfin, je songe à nos ancêtres, qui ont souffert de vraies épidémies, et j’ai honte. Nous mettons à l’arrêt le pays dont nous avons hérité pour 0, 044 % de morts.

        Répondre
        • Lafayette says:
          il y a 2 ans

          Je suis tout à fait d’accord avec vous , mais ne tirez donc pas sur le pianiste !

          Répondre
  8. serge says:
    il y a 2 ans

    Comme je l’ai déjà dit, aucune comptabilité de la grippe pour 2020 (400 000 morts en 2016-2017 dont 67 000 en janvier 2017), aucune comptabilité de la canicule (5000 en 2003, 1500 en 2019), aucune comptabilité des pathologies associées qui sont plutôt les causes et pour l’instant aucune comptabilité des décès liés au confinement/port du masque/perte d’emploi/perte d’affectivité. On a même le toupet de parler de « morts DU covid » alors que les allemands, au moins, font la précision sémantique de « morts DU covid et morts AVEC le covid ».

    Répondre
  9. Franck Boizard says:
    il y a 2 ans

    https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3702595

    En résumé, le COVID a tué en 2020 ceux que la grippe n’a pas tué en 2018 et 2019. Voilà, voilà …

    Et c’est à cause de ça que nous fusillons nos libertés les plus fondamentales et que nous mettons nos pays sans dessus-dessous. Quand je vous dis que nous sommes fous …

    Répondre
  10. Lafayette says:
    il y a 2 ans

    « Parce que la ruine des uns ne peut se faire dans l’impunité des autres »

    Rien n’est moins sûr… C’est une réflexion naive ou une incantation divine ?
    Vous touchez au complotisme pour ne révéler que l’incompétence de nos dirigeants. Derrière laquelle ils n’auront même pas à se réfugier puisse qu’on ne les accusera pas…
    J’ai toujours plaisir à vous lire, merci !

    Répondre

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