Après les Yvelines mercredi, l’obligation de porter le masque en extérieur est suspendue à Paris. Ces récentes décisions viennent confirmer que l’obligation du port du masque en extérieur reste un geste purement politique, sans fondements sanitaires.
Après les Yvelines, un nouveau revers pour les autorités
Le tribunal administratif de la capitale a suspendu, jeudi 13 janvier, l’arrêté préfectoral qui rendait obligatoire le port du masque en extérieur depuis le 31 décembre pour lutter contre la vague de contaminations au Covid-19.
La décision du tribunal administratif de Paris a été publiée via un tweet de Maitre Soufron, ce vendredi vers 09h.
La préfecture de police a réservé sa réponse à la réception de la décision. « Comme ce n’était ni nécessaire, ni strictement proportionné, le tribunal administratif a souhaité suspendre l’arrêté », a pour sa part commenté auprès de l’AFP Me Jean-Baptiste Soufron, qui a plaidé pour la suspension de cet arrêté.
« L’arrêté était illégal car il porte sur une obligation générale et absolue, qui n’est que très rarement admise par le juge administratif. Enfin, celui-ci exerce un contrôle de proportionnalité sur les mesures relatives à la lutte contre le Covid », se réjouit Paul Cassia, l’un des avocats à l’origine de ce recours
Une décision similaire avait été déjà prise dans les Yvelines mercredi, au motif que cette mesure de lutte contre l’épidémie de coronavirus portait atteinte à la liberté individuelle.
Enfin, mardi 11 janvier, saisi en urgence par un particulier, le Conseil d’État précisait que les préfets ne pouvaient imposer le port du masque en extérieur qu’à certaines conditions : « il doit être limité aux lieux et aux heures de forte circulation de population quand la distanciation physique n’est pas possible, et uniquement si la situation épidémiologique locale le justifie ».
Le masque en extérieur, une mesure politique
Passé d’accessoire inutile à dispositif obligatoire, le masque pour se protéger soi et protéger les autres de la transmission du Covid-19 a connu plusieurs doctrines en France en l’espace de quelques mois.
La crise sanitaire dure depuis 2 ans, mais on a l’impression de revivre en boucle les mêmes événements, à l’image de Bill Murray dans le film « Un jour sans fin, » qui se réveille invariablement le lendemain comme s’il ne s’était rien passé la veille.
Le comique de répétition du gouvernement, Jean Castex en tête, se prête peu à la gestion de crise sanitaire. Force est de constater que nous sommes toujours incapables de tirer les leçons des erreurs passées. L’obligation du port du masque en extérieur en est l’une des illustrations les plus marquantes.
Cette mesure éminemment politique et infantilisante qui s’est étendue jusqu’aux rues désertes des villes en pleine nuit, aux vastes étendues de sable et aux chemins reculés de montagne, semblait avoir enfin connu un épilogue quand le premier ministre a annoncé le 16 juin 2021 que le port du masque ne serait plus obligatoire en extérieur à compter du lendemain.
Or depuis la fin de l’année 2021, le port du masque en extérieur est de nouveau imposé par des Préfets aux ordres. Il est même, aujourd’hui imposé jusqu’au sport à l’école, ce qui représente un non-sens et un danger.
Alors, au royaume de l’absurdistan, il n’y a peut-être qu’un seul endroit où on va finir par avoir le droit de se dégager le visage entièrement : dans la douche ou dans les toilettes.
Quand la France changera-t-elle sa politique sanitaire ? Quand la vie reprendra-t-elle tout son sens et son humanité ! En attendant ces jours meilleurs, respirons librement !
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Tu parles d’une avancée ! Vaut mieux en rire…c’est ni plus ni moins donner un nonos à manger au bon peuple pour qu’ils continue à la fermer…et avec en prime le message subliminal de la justice suivant : ” vous voyez..on ne fait pas rien!…”
Il faut comprendre, suite à l’exégèse d’Eric Verhaeghe sur le Grand Reset de Klaus Schwab, que l’objectif des politiques mondialistes n’a jamais été de soigner les populations, mais d’imposer un nouveau paradigme mondial de reconnaissance sociale et et de surveillance digitale, justifié selon eux par les migrations. Les mesures sanitaires, alors, seront toujours kafkaïennes et délirantes puisque en aucun cas basées sur la science des épidémies et de la médecine, sauf en Afrique sauvée par sa non électrification et son retard technologique… Vous rendez-vous compte du chaos, pour ces élites mondiales, si l’on avait suivi d’emblée les découvertes rapides de protocoles de soins efficaces (tous découverts entre février à avril 2020 par les soignants de première ligne dans le monde entier) ? Les épidémies de Covid n’auraient duré que 2 mois, et tous les investissements de Bill Gates, de BIG PHARMA & TECH (en France les investissements de reconnaissance digitale et faciale) seraient tombés à l’eau… Le risque systémique était trop grand pour ces élites, et aussi celui de perdre le pouvoir au bénéfice des peuples souverains. Quelle horreur ! Il fallait absolument que la pandémie dure le plus longtemps possible et devait être entretenue artificiellement par des thérapies mutagènes (Remdesivir, thérapies géniques ARNm), en France jusqu’aux Présidentielles de 2022, pour que le pouvoir mondial reste entre leurs mains, grâce entre autres au spécialiste mondial de l’ingénierie sociale en médecine qu’est MacKinsey (Crise des Opioïdes). Des lors, toutes les manipulations, tous les détournements constitutionnels, tous les mensonges ont été mis sur la table, et personne, à part les dits « complotistes », n’a réellement moufté, les uns ramenés au silence par les milliards de subventions, les autres par la terreur. Crimes contre l’Humanité, contre la Constitution, contre les Lois nationales, contre les Traités Internationaux, et au fond, contre la morale issue de nos civilisations des Lumières. Qu’on les arrête et qu’on les enferme tous, vite ! Qu’on arrête avec ce cynisme et ce nihilisme malthusien des élites mondiales. Comment pourrions-nous transmettre cette odieuse société à nos enfants (4) et petits-enfants (3) ?
Des petites brèches, c’est pas ça qui peut nous rassurer sur un reprise du bon sens mais savourons parce qu’il y a pas besoin d’être visionnaire pour s’attendre au retour de l’absurde si l’un des deux Macron ou Pecresse gagne les élections.
Inutile du produit de vue sanitaire, le masque est une idée géniale d’ingénierie sociale. Il permet de rendre visible, à la fois la soumission du peuple et la présence du virus (rappelons-nous que cette mesure a été imposée en été, quand l’absence d’épidémie était compensée par la multiplication des PCR). De plus, le masque permettait quelque chose d’essentiel: le flicage d’une partie de la population par l’autre, préparant les clivages futurs…
La décision dont il est question ici ainsi que le changement de pied visible dans les médias est sans doute le signe d’une inflexion du narratif pandémique, non pas du gouvernement (Macron s’obstine dans la coercition et la division pour des motifs électoraux évidents) mais des donneurs d’ordre…