Les chercheurs de la London School of Hygiene and Tropical Medicine et de l’université de Hasselt ont mené un sondage auprès de plusieurs femmes enceintes âgées de 18 à 49 ans, originaires de 19 pays européens entre mars 2020 et septembre 2021. Cette enquête a permis de révéler qu’elles ont plus souffert que les autres pendant le confinement.

Une étude publiée sur le serveur de préimpressions medRxiv* a révélé que les femmes enceintes ont plus souffert que les autres pendant le confinement et qu’elles ont été nombreuses à avoir reçu le vaccin contre le Covid-19. Les femmes enceintes ont dû faire face à des défis supplémentaires, encore aggravés par la crainte de contracter le COVID-19.
Un stress supplémentaire à supporter
Alors que ces femmes enceintes avaient besoin d’un soutien psychosocial important, elles ont dû réduire les contacts sociaux suite aux restrictions sanitaires en vigueur et par peur de contacter le coronavirus.
En effet, 15 à 20% des futures mamans qui ont participé à l’étude sont restées en quarantaine tout le long de la période d’étude. La perception du risque était plus importante chez elles. Autrement dit, elles ont dû faire face à un stress complémentaire.
Une couverture vaccinale élevée au début du confinement
Cette étude a aussi révélé que la couverture vaccinale entre janvier et avril 2021 était particulièrement élevée chez les femmes enceintes que chez les femmes non enceintes. Notons que chaque pays a adopté leur propre politique de vaccination selon le statut de grossesse.
Les auteurs de l’étude ont mentionné une certaine inquiétude concernant les effets secondaires des vaccins sur le fœtus. À partir de mai 2021, l’engouement des femmes enceintes pour le vaccin a vite baissé.
En somme, cette étude a révélé que les futures mamans ont un besoin accru de contacts sociaux durant la grossesse, en dépit des restrictions sanitaires. En outre, les auteurs de l’étude demandent aux dirigeants de mettre en place des stratégies en vue de convaincre les femmes enceintes de se faire vacciner. En effet, selon l’étude, durant le confinement les femmes vivaient dans un environnement de confusion constante qui les a empêchées de se faire vacciner contre le COVID-19.

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« les auteurs de l’étude demandent aux dirigeants de mettre en place des stratégies en vue de convaincre les femmes enceintes de se faire vacciner. »
on ne connaît pas les conséquences du vaccin sur les femmes enceintes : c’est donc criminel que de les convaincre de se faire vacciner !