Aux États-Unis, les disparités raciales et ethniques dans la mortalité causée par le Covid-19 ont diminué entre la première vague et la vague d’Omicron, révèle une étude. L’étude a conclu que cela s’expliquerait par la hausse des décès chez les adultes blancs non hispaniques.
Si au début de la pandémie, le risque de mourir du Covid-19 était plus élevé chez les Noirs, les Amérindiens et les Latinos, affirmait-on outre-Atlantique. Facteur social, penserons-nous spontanément. Mais les Américains ont décidé d’y voir du “facteur ethnique”. En effet, face au Covid, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains ont indiqué que les Afro-Américains avaient environ deux fois plus de chances d’en mourir que les personnes blanches. Suite aux directives de l’administration Biden, même la distribution des traitements anti-Covid s’est faite selon certaines conditions ou facteurs médicaux. Dans certains Etats comme New York et l’Utah, la race ou l’origine ethnique font partie des critères d’éligibilité aux médicaments. Biden n’a pas hésité à prioriser les personnes « non blanches » dans l’administration des traitements par anticorps monoclonaux. Mais étonnement, selon le Washington Post, les statistiques auraient beaucoup évolué au fur et à mesure que la pandémie progressait, selon les CDC, le taux de décès chez les Blancs a dépassé celui des communautés noires.
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Dennis Rancourt a largement montré par l’étude de la mortalité toutes causes confondues que les morts de la période Covid ne sont nullement dus à la progression d’une virose mais à une intense attaque psycho-socio-économique des populations. Il en a résulté que ce sont les populations déjà en difficulté socio-économique qui ont été les principales victimes, explication étayée par le fait que la pauvreté est l’indicateur le mieux corrélé avec les décès de la période, décès frauduleusement attribués à un virus. Lire le site de Denis Rancourt. Ce travail a été la fait!
La seule particularité ethnique de la période est le déficit en enzyme G6PD (par mutation du gène correspondant), particulièrement fréquent chez les populations issues d’Afrique, et qui doit faire l’objet d’importantes précautions d’emploi dans l’administration de la chloroquine ou de l’hydroxychloroquine, pour ceux qui auraient cru au narratif alternatif des “traitements précoces” tout aussi faux que le narratif principal, cette administration pouvant provoquer des hémolyses graves. C’est le médecin allemand Wolfgang Wodarg qui a le premier alerté sur ce point. J’espère que les quartiers nord de Marseille me lisent…
Concernant le sort socio-économique des Afro-américains, il faut lire le récent article de Matthew Ehret sur le rôle de la perfide Albion pendant la guerre de Sécession, et comprendre ainsi que le combat des “droits civiques” aux USA et le nôtre actuellement pourrait finalement être le même :
https://www.thelastamericanvagabond.com/the-original-deep-state-the-anglo-canadian-hand-behind-the-civil-war-and-lincolns-murder/
Les populations noires d’Afrique de l’ouest sont imbibées sans dommage d’antipaludéens de type chloroquine.
Le paludisme, infiniment plus dangereux que le coronacircus, y étant, et de très loin des autres, la première cause de mortalité.
En cas de COVID c’est le traitement à base de chloroquine (plus toxique que l’hydroxychloroquine du Pr. Raoult) qui a été donné.
Et il y a eu dix fois moins de morts que dans les pays occidentaux.
Ceci est pure propagande. 1/ Le risque d’hémolyse en cas de déficit en G6PD est écrit dans le Vidal pour la chloroquine comme pour l’hydroxychloroquine. Il est donc bien réel.
2/ La maladie dite Covid 19 n’existe pas et n’a jamais existé. Le nombre de malades ou de morts de cette maladie est donc de zéro dans le monde.
3/ Les pays qui ont enregistré le moins de “morts Covid” sont tout simplement ceux qui ont le moins menti, car les dingues n’en avaient pas le contrôle total. Alors bravo à de nombreux pays africains pour cette seule mais importante raison, résistance d’autant plus méritoire que les assassinats ont été nombreux, le plus emblématique ayant été celui de John Magufuli puis de ses soutiens principaux lors d’une “bousculade” pendant ses obsèques (une quarantaine de morts).