Une récente étude du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) à Atlanta a permis de mettre en lumière les risques encourus par les patients lors d’une transplantation d’organes en cette période de pandémie. Les résultats ont révélé le risque accru de décès en cas d’infection au Covid-19 pour les receveurs de greffe de poumon.

Au cours de la période mars 2020 à mars 2021, une équipe de chercheurs menée par Rebecca Free du CDC d’Atlanta, a étudié 125 cas d’infection potentielle au Covid-19 lié à la greffe d’organes. L’enquête a permis d’identifier le risque encouru par les patients en attente d’une transplantation en cette période de pandémie. Lors de leur recherche sur un petit échantillon, les chercheurs ont constaté que les donneurs de “poumons” ont transmis le virus à leurs receveurs. Les chercheurs recommandent dorénavant à ce que les dépistages soient plus approfondis avant une greffe.
Un risque d’infection et de décès élevé chez les transplantés pulmonaires
Les résultats de l’étude ont révélé que les receveurs de greffe de poumons sont les plus exposés à une infection au Covid-19 par le donneur. Selon les chercheurs, cette contamination pourrait entraîner le décès des transplantés. Cependant, le risque de contracter la maladie reste faible chez les receveurs d’organes extra-pulmonaires (rein, foie, cœur…)..
Notons que les auteurs de l’étude ont recensé 9 donneurs testés positifs au Covid-19. Or, ces derniers ont donné des organes à 19 patients. Trois des receveurs de poumons bilatéraux ont contracté le virus des donneurs. Les 16 autres ont reçu des organes extra-pulmonaires et ils n’ont pas été infectés. En outre, un des trois transplantés pulmonaires a perdu la vie
Difficulté d’identification des sources d’infection
Les chercheurs ont mené une étude plus poussée en examinant les données émanant du Réseau d’approvisionnement et de transplantation d’organes. Pendant la période étudiée, 42.740 transplantations d’organes, incluant 2.736 greffes pulmonaires, ont eu lieu.
L’étude a porté sur une éventuelle transmission du coronavirus par le donneur, pour cela, les chercheurs ont analysé le cas de 40 donneurs, dont 3 sont vivants et 37 décédés.
Les chercheurs ont alors découvert que le statut SRAS-CoV-2 des 3 donneurs vivants était « inconnu » au moment de l’intervention. Par ailleurs, la cause de décès des 37 donneurs a été aussi déclarée non liée au Covid-19.
L’étude a montré que 140 organes provenaient de ces 40 donneurs à savoir 62 reins, 33 foies, 22 poumons, 15 cœurs et 8 pancréas. Ces organes ont été transplantés chez 125 receveurs.
Selon l’étude, sur les 25 receveurs d’organes qui présentaient des signes d’infection par le COVID après la transplantation, 11 avaient reçu une greffe de poumon, et neuf sont décédés quelques jours après la greffe, dont six des receveurs de poumons.
Selon les chercheurs, malgré les examens préopératoires, il est difficile de définir avec précision la cause de l’infection. Ils ont aussi constaté que la plupart des donneurs n’ont pas été testés avant le prélèvement d’organes. Cela dit, le risque que les receveurs aient été infectés par le donneur reste faible. Les données réunies ne permettaient pas non plus de définir si l’infection a eu lieu avant ou après la transplantation. Néanmoins, les auteurs de l’étude insistent sur la nécessité de pratiquer au minimum deux tests Covid chez les donneurs.
A noter qu’en France, l’agence de biomédecine a émis des recommandations sur les transplantations et le Covid-19 :« il est recommandé que les donneurs d’organes potentiels bénéficient, dans les 24 heures précédant le prélèvement d’organes, d’un test par RT-PCR nasopharyngé (ou endo-trachéal) dont le résultat devra être négatif pour que le prélèvement puisse avoir lieu. Ces tests RT-PCR pourront être complétés par des test sérologiques sanguins ».
Aux États-Unis, nombreux établissements hospitaliers exigent la vaccination contre le Covid-19 comme critères à remplir par les candidats à la transplantation. Rappelons le triste cas de DJ Ferguson qui était inscrit sur la liste d’attente pour une transplantation cardiaque de l’hôpital Brigham and Women’s de Boston. Mais il a été retiré de la liste pour avoir refusé de se faire vacciner contre le Covid-19, une violation manifeste du serment d’Hippocrate.

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De plus quand on sait que les greffés doivent prendre, à vie, des traitements lourds anti-rejets qui diminuent toute immunité … et bousillent tous les organes à courte ou plus longue échéance … c’est carrément ” criminel ” de leur infliger ce ” vaccin covid ” qui va solliciter le peu de “ressources” pour “lutter” et va aggraver leur état … et sûrement empêcher la greffe de “tenir” à courte ou plus longue échéance … un gâchis pour tout le monde, et surtout pour les malades et greffés … le corps n’est pas prévu pour vivre avec des organes extérieurs à son propre métabolisme… et jouer au sorcier en l’empêchant de lutter contre l’implantation d’organes extr.. c’est jouer à la roulette russe et c’est le patient qui trinque, dans tous les cas …